À propos

Mon matériel photo :

Fuji X-T4

sur lequel je monte essentiellement un objectif fixe qui ouvre à 1.4 (équivalent à un 35 mm en plein format) ; mais j'utilise également un zoom Tamron 17-70 (f/2.8).

 

Comme beaucoup de photographes amateurs j'ai commencé par l'argentique, en noir et blanc. La procédure consistait d'abord à développer le film. Pour ce faire il fallait enrouler le film sur les spirales de la cuve, dans le noir complet, développer à la montre et au thermomètre, fixer, laver, laisser sécher ; on avait déjà un bon aperçu de la qualité du négatif ; de toute façon il n'y avait pas de retour en arrière possible : c'était bon (heureusement dans la plupart des cas) ou ça ne l'était pas et là il n'y avait plus rien à faire. Puis préparation (la veille) des produits pour le tirage sur papier ; quand on s'y mettait (moi c'était dans la salle de bain) il fallait prévoir d'y passer la demi journée : choix des négatifs à tirer, essais d'exposition, cadrage, développement, fixation, lavage, séchage et glaçage.

C'était une autre époque. Je suis dans le numérique depuis le début des années 2000 et, bien que l'argentique ait eu son charme, je n'aurai pas envie de revenir en arrière.

Pour la prise de vues je suis assez éclectique ; à part le portrait qui ne m'inspire pas beaucoup, je fais un peu de tout : voyages et scènes de rue notamment.

Je limite souvent le traitement en post-production (un peu de recadrage et de traitement de la lumière), en essayant de soigner la prise de vue (héritage de l'argentique quand une pellicule ne contenait que 36 clichés ... il ne fallait pas gaspiller).